Ainsi celle de Loïc Améraoui, vainqueur du trophée de l’avenir :
"j’ai eu un début de saison compliqué, heureusement qu’il n’y avait pas les points.
J’en ai profité pour me mettre dans le bain, pour me faire plaisir"
.

Voila des paroles de sagesse qui devraient faire réfléchir les organisateurs d’une compétition qui démarre trop tôt (cette année un 1° avril) laminant et les hommes et les taureaux.

Quand au biòu de l’avenir, on sera épargné des conciliabules malodorants qui président à ceux du biòu d’or puisque son élection s’opère en direct, en présence d’un public averti, et le choix de Timoko de Lautier est largement mérité."

Liberté.