"je ne sais si vous y étiez, mais je ne me souviens pas d’ avoir vu une finale de l’avenir aussi minable que celle du Grau du Roi de cette année.

Une finale qui appelle un commentaire évidemment différent que celui énoncé sur les quotidiens organisateurs "Le Midi Libre" et ""La Provence" qui font singulièrement abstraction de la vérité.

  • d’abord cette absence de F. Martin de cette finale non signalée, non expliquée et qui reçoit malgré tout sa récompense de second au classement.
    Il était présent dans les gradins.
  • des raseteurs exsangues, peu entreprenants, sans volonté, sifflés bien souvent, qui laissent imaginer ce qu’il serait advenu si Marignan avait dû se retirer au premier taureau.
  • des taureaux sans doute affectés par les rincées abondantes de la veille mais pas que...rentrés prématurément sur blessure par leur propriétaires.
    Quand au choix des finalistes, bien d’autres cocardiers auraient eu une place méritée.

Marengo de Vellas à qui le titre de "biou de l’avenir" a été décerné s’est montré certes valeureux, mais ce barricadier a vite montré ses limites usé par des coups de boutoir répétés et intempestifs.
L’an prochain aux As la partition ne sera plus la même.

  • quand au choix des arènes du Grau du Roi où l’absence de sécurité sur les gradins est évidente (les arènes des "esquichés" pour ceux qui savent de quoi on parle puisqu’on est au pays des sardines) pour cette finale, le conclave Taurin n’est toujours pas très inspiré dans ses choix.

Heureusement la mise en scène de la capelado réalisée par maître Patrice BLANC a réuni tous les suffrages des spectateurs.

Mais était on venu que pour çà ?"