"On peut comprendre la gêne de certains chroniqueurs taurins à traduire avec sincérité le contenu d’une course qui se déroule sous ses yeux, et d’exprimer son contenu sans détours, sans complaisance vis à vis des organisateurs, des manadiers et des raseteurs.

Cependant compte tenu de la dégradation qualitative des courses constatées depuis le début de saison et son nombre excessif (ceci expliquant cela), ajouter au panier des lamentations des vérités qui fâchent, peut paraître suicidaire.

Soit.

Mais est-il objectivement utile de masquer la vérité aux aféciouna qui eux se trompent rarement de jugement ?

Et dans ce cas que faut-il penser alors de l’opinion du public qui n’est pas en concordance avec le chroniqueur ?
La peur de voir les gradins se raréfier ?

Et si du côté de la Fédération on se penchait sur ce problème une bonne fois pour toutes pour réfléchir sérieusement et reprendre en main notre devenir, sans complaisance aucune, sans influence de quelque endroit qu’elle vienne ?

Liberté."