Pendant cette période tous les villages sont en fêtes votives et chacun y va de sa course dans un calendrier déjà en surcharge.
Sans compter que la forme des raseteurs bien éprouvée ne peut tenir à un rythme effréné.

Dans un temps c’était des courses de taureaux emboulés et gratuites.
Un jour il faudra revenir à ce concept pour soulager à la fois les hommes et les portes monnaies.

Savez vous qu’entre le vendredi 11 août et le jeudi 17 août il y aura eu 44 courses au compteur (tout confondu : ligues-hors trophées-trophée avenir-trophée des As) soit plus de 6 courses par jour dans un périmètre très réduit.

Et après on viendra se plaindre de voir les gradins se dépeupler.
Mais restons optimistes.
Peut être qu’un jour les (ir) responsables taurins l’auront compris.
A nos dépens sans doute.

Liberté."