dans la salle du Juge de Paix de Vauvert.

La représentante de l’association, Madame Nicolas, particulièrement émue a souligné que c’était le don le plus important que son association n’ait jamais reçu !

La somme récoltée aurait pu être plus conséquente si les « casseurs de Rodilhan » s’étaient abstenus de menacer par leur présence le bon déroulement du festival ce qui a contraint les organisateurs à prendre des mesures de sécurité qui se sont avérées payantes et obéré la somme finale.

A cause d’eux, cette association a reçu moins de fonds que prévu.
Quelle que fût la motivation de ces "casseurs", ils ont eu à choisir entre un animal et un enfant qui souffre.
Pourront-ils se regarder en face en toute conscience ?