Guère entrepris correctement, BLAD DE LUNE (627) s’évade quelque peu.
Puis si on va le provoquer, il va au bout comme après Rey ou Sabot. C’est sur qu’il en laisse passer un certain nombre mais s’il est placé, peu se lancent, préférant partir dans son dos... Dans le dernier "tertio", il prend le milieu et les ficelles rentrent.

FOUQUET (756) Assez distrait, se livre quand il a l’homme dans sa mire, se montrant capable de finir fort à la planche surtout après Rey, Sabot et Guyon.
Mais il manque nettement de travail...surtout un travail de qualité. Et à ce petit jeu, il conserve ses ficelles.

À l’occasion de la première série DAKOTA (750) se montre offensif en répondant à tout et en se dressant à l’arrivée.
Il exprime son côté barricadier avec même des sauts après l’homme. Il enferme Benafitou avec la manière... Et il s’envole derrière le même.
Du coup, il est récompensé plusieurs fois, pendant treize minutes brillantes.

Attendu pour son retour, après Les Saintes, QUO VADIS,(618) à assurément retrouvé la plupart de ses sensations.
Tout est prétexte à sauter après ses adversaires, mais une grosse averse interrompt sa course à la 6eme. Avec sa façon de fermer la porte, il élargit le cercle et devant la grève de ses opposants, il étale sa grosse méchanceté ...sur les spectateurs.
Et de la sorte, il retourne enficelé aux Marquises.
On suivra son évolution avec intérêt.

DIABOLO (770)s’est installé d’emblée en dominateur et même s’il saute à plusieurs reprises, il n’inspire guère les tenues blanches.
Surveillant tout, il accompagne à chaque occasion jusque dans l’au-delà. Hélas, blessé , Rey se retire. Puis il saute après Benafitou, il explose derrière Sanchez et cette belle tenue l’autorise à rentrer ses ficelles.

Enfin, le furieux INDIAN (726)se montre fracassant en traversant les planches.
Méchant et rapide, il met les blancs au large. Et s’ils se montrent, il finit avec eux dans le pourtour et très haut. En tous cas, il n’a pas envie de fumer le calumet de la paix...
Quand Guyon y va, les planches souffrent !.
Et c’est aisément qu’il réintègre l’écurie avec un gland. La classe biberon de la "grasilho" à été au-dessus de l’équipe blanche, nettement.