Mort le 04/02/1958 il avait 14 ans.

Son nom lui vient de la forme de ses cornes, semblable à celle du cocardier de Pouly portant aussi ce nom.

Chétif doublen sur qui on comptait peu, il va devenir une vedette.
En 1950, Jean Lafont le fait courir à Nîmes dans sa royale et il y signe son premier exploit.
Deux ans plus tard, il confirme et signe à Lunel une course mémorable.
En 56, le Biòu d’Or le récompense alors qu’il avait aussi triomphé à la Cocarde d’Or.

Dangereux par son coup de corne à la planche, il a blessé de nombreux raseteurs : Julot Lopez, Lansac, Giniès, Fidani, Douleau...

L’année 57 voit toujours Cosaque en tête d’affiche, mais, malade, il décline déjà et c’est en 58 que Julot Lopez le trouve mort un matin à la Tour d’Anglas.

Le grand cocardier est enterré à la Tour, mais, sa tête, naturalisée, est au siège du club "Le Cosaque" de Beauvoisin.