Dingo (831) de Blatière-Bessac.
Il procède à tour de piste pour repérer les lieux, et faire admirer aux raseteurs son agilité.
Il répond aux rasets courts comme aux rasets longs, qu’il conclue parfois tête par-dessus la planche. Vacaresse coupe la cocarde, que lui ravit Ibarra. Goujeon lui prend le premier gland, et Sanchez le second.
Il dose ses efforts pour dicter sa loi ; deux raseteurs sont dépossédés de leurs crochets. Il joue des cornes pour défendre ses ficelles, et parvient à en rentrer une. Trois « Carmen » récompensent son engagement, ainsi qu’un autre pour son retour au toril.

Enzo (920) d’Aubanel-Baroncelli.
Dès le premier raset, il fait étalage de sa vitesse. Goujeon lui coupe la cocarde, et les deux glands, tandis qu’Ameraoui lui prend la cocarde. Possède de très bons appuis, ainsi qu’une imposante stature. Ce qui lui permet de passer aisément d’un raset court à un raset long.
Assailli en rafale, il répond présent, en faisant sauter un crochet. Cinq « Carmen » récompensent son engagement. Il déstabilise Ibarra à la planche. Lequel lui ravit la deuxième ficelle à l’ultime seconde, primée à 150€. Il regagne le toril au son de « Carmen ».

Fangous (129) de Lou Pantaï.
Très rapide, il n’en demeure pas moins fort.
Témoin cette planche qu’il fait voler sur le toit de l’infirmerie. Sanchez lui coupe la cocarde, et Vacaresse la lui ravit. Il répond à tous les rasets, finissant parfois dans la contre-piste, pour la plus grande frayeur de certains raseteurs. Entend « Carmen » quatre fois, ainsi que pour son retour au toril.

Cettori (013) d’Aubanel-Baroncelli.
Possède des qualités athlétiques qui font hésiter les blancs : il accélère, freine et pivote avec facilité.
En chef, il dirige les débats en bougeant les raseteurs, qui sont déstabilisés. Sanchez, son meilleur adversaire, lui coupe la cocarde à 100€. L’affrontement se termine par une grosse frayeur pour le raseteur.
Il a droit à cinq « Carmen », et rentre ses ficelles, dont la première est primée 200€, au son de « Carmen ».

Jason (824) de Blatière-Bessac.
Dès le premier raset, il passe la tête par-dessus la barrière ; au second, il finit en contre-piste derrière le raseteur. Le ton est donné.
Il sélectionne ses rasets. Ameraoui lui enlève les deux glands. Frayeur sur Ibarra à qui il coupe la course. Après une lutte âpre, Ameraoui parvient à lui ravir la cocarde à 150€. Deux rasets sont violemment conclus aux planches, qu’il brise. Il entend « Carmen » huit fois.
Il rentre ses deux ficelles, et a droit à un autre « Carmen ».

Félibre (625) de Lou Pantaï.
Il sort avec beaucoup de gaz. Il préfère les rasets longs où s’expriment le mieux sa vitesse.
Goujeon lui coupe la cocarde, et lui prend un gland, et Ameraoui le second. Ibarra lève la cocarde. Sur un raset, il déstabilise Ibarra qui sort en boitillant. Ses conclusions aux planches, engagées et pleine fougue, lui valent neuf « Carmen ». Ameraoui parvient à lui ravir la seconde ficelle dans les derniers instants.
Il a droit à un dernier « Carmen » pour son retour au toril.