Ferriol avec un gros travail s’est imposé aux points et le prix de l’animation est revenu à l’infatigable Guyon.
Ce duo à été le catalyseur de l’équipe blanche avec l’aide de Fougère.

Les pensionnaires de l’Avenir ont été plus effacés et surtout moins
efficaces, 2 pts chacun pour Montesinos et Aliaoui, Fouad et Sabot étant restés bredouillés.
L’entrant Chig à complété.

Le premier, PÉPIN. (000)
De Cuillé à passé tout son temps en contre-piste ( une vingtaine de fois).
Placé dans l’angle du toril, il y fait son trou et les gesticulations des tourneurs n’y feront rien pour le déloger. Bref, Pépin s’évade ou ne part pas.

L’ancien( 13 ans ), OSCAR de La Galère (39.1)a présenté une très grosse détermination , avec des énormes percussions, des sauts avec l’homme et des récompenses pour tous ces exploits.
C’est Guyon qui ouvre et c’est Ferriol qui récolte...
Pendant ces séquences, il continue son festival dans les arrivées, jusqu’à la 14eme( 10 Carmen ).

Avec QUEYRAS de Paulin,(4.32) c’est plus sérieux, tout en étant capable de se dresser sur les planches ou de sauter sur les rasets les plus consentis.
Avec un répertoire complet, il aurait mérité un travail plus constant.
À la 11ème, il anticipe Fouad en allant le chercher sur les tubes avec juste un coup de corne...dans le pantalon.
C’est en dominateur qu’il rentre enficelé.

Le quatrième, CIGALON de Fabre-Mailhan (6.75)est en défense de ses ficelles à la 2ème.
L’œil à tout, avec de grosses enfermées le cercle s’élargit.
Et comme en plus, il détient un placement performant, il oblige à des attaques calculées. Et dans les séries, il étale un moral au zénith, à bâbord comme à tribord et Philip le récompense à sa valeur démontrée...et malgré tout il les rentre.

ROITELET de Saumade (000)n’est pas ménagé car il se livre volontiers.
Du coup, cocarde et glands vont partir en 3 minutes.
À partir de là, il se montre autoritaire, en sautant sur Ferriol avec une énorme puissance. Du rythme pendant 10 minutes fort brillantes.

Le jeune LEBRAÙ de Laurent (000)aura étonné ( 6 ans ) par une démonstration de principes qui devraient en faire un cocardier qui compte dans un proche avenir.
De sorte qu’il aura les faveurs du jury.
Un placement de choix qui lui permet de dominer et quand il a l’homme dans sa mire, il se dresse et à l’occasion, il bascule.
Cette belle implication lui permet de ramener ses ficelles aux Marquises...

Consommé avec beaucoup de modération, le Ricard nommé DOLLAR, (62.8)va beaucoup visiter la contre-piste, revenant même tout seul.
Méchant à l’extrême, toute occasion est bonne pour s’envoler.
Seul Rémy Guyon osera l’affronter et lui fera la coupe et un gland.
A revoir quand il sera calmé...