Ainsi la tradition du "taureau à la bourgine" désormais interdite par un tribunal local va faire les choux gras de tous les opposants à nos pratiques taurines quelles qu’elles soient.

Et pourtant, pas mal d’esprits éclairés avaient déjà condamné cette pratique d’un autre âge qui n’avait rien de valorisant pour une jeunesse en quête d’exploit.
Une bête sauvage parfaitement maîtrisée, promenée au bout d’une corde à travers la ville en plein hiver n’a rien en effet de valeureux.

Ces pratiques excessives n’honorent pas ceux qui se targuent d’être des défenseurs de nos traditions.
Tous les extrêmes, qu’ils soient religieux, politiques ou aféciounade doivent être reconduits à leurs places : c’est à dire sur les étagères du passé, là où ils ne risquent pas de gangréner les générations futures.

Il faut avoir le courage de le dire avant que tous les antis taurins de la planète enfoncent encore un clou dans le flanc mou de nos faiblesses.