Un article de Daniel J. VALADE ; extrait du "Magazine CAMARGUE", numéro 206 de Février 1990
"Entre Nîmes, où les cocardiers connaissent les plus grands triomphes, et Saint-Gilles qui est objectivement " la porte de la Camargue", Caissargues se prépare à un avenir économique prospère.
Ses arènes voient l’entraînement du Centre Français de Tauromachie et on peut souhaiter à cette piste de revoir au plus tôt Christian Nimeño qui, à longueur d’année, y a dépensé tant d’énergie pour l’esthétique du combat des taureaux." (...)