C’est sans aucun doute la plus prestigieuse des compétitions de la course camarguaise. L’épreuve la plus convoitée ; elle à d’abord une dimension si particulière, musclée et rageuse.

Mais cet enfer sous la dure lumière d’été se traduit en intense victoire, larmes, déception pour la plupart des candidats qui finissent lessivés réduits à zéro , c’est le combat des chefs la loi du plus fort une lutte d’hommes qui n’est jamais gagnée par avance et que tout raseteur rêve un jour espère graver son nom en lettres d’Or dans cette compétition.
Accrocher à sont palmarès la Cocarde d’or est un signe de noblesse de loyauté même si cette victoire ne c’est pas faite dans la dentelle.

Les vainqueurs de la Cocarde d’Or 1960 : de droite à gauche André SOLER, MORRANT, M.FALOMIR et Roger DOULEAU

Christian Chomel recordman de l’épreuve 8 victoires ou Lucien Volle 7 victoires sont les plus représentatifs.
Bien des raseteurs l’ont vécue dans la sueur et la peur mais également meurtris par la corne comme les frères Douleau, Jacky Simeon ou bien Lucien Volle voilé par l’inconscience de la prise de risque.

75 années d’épreuve de Cocarde d’Or de 1928 à 2006 se résument dans ses pages.

André DOULEAU coincé a la barrière par SAN-GILLEN de Nou de la HOUPLIÈRE - 1952

  • 204 pages ; 300 photos. 25 euros

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Publié le - Mis à jour le 28 juillet 2023