Les Rhônes
En 1856, énorme crue, il se trouve que napoléon III visite le delta, il décide des mesures d’urgence.
Le chantier de l’endiguement du bras principal sont entamés en 1857, il se terminera en 1863 et l’endiguement des 2 bras du Rhône se terminera en 1869.
Le Rhône de St Féréol, a pris source au trou de la Cappe, qui à aussi donné son nom a la brassière du même nom, cette source à été fermée en 1440 après avoir passé sur Bouchaud, Beynes, la Capelanière, Notre Dame d’Amour, Cabassole, Agon, Le Carrelet, Bardouine, va se jeter à la mer tout a coté des Saintes. Abandonné en 1440. En 1543, son lit était désigné sous le nom de brassière vieille
Le Rhône de Peccais, a pris source au petit Rhône au lieu dit Sylvéréal, a donné naissance a 3 bras, a été fermé en ? pour une ouverture au 16e siècle. La petite Camargue se termine a ce bras du Rhône à l’ouest et au petit Rhône à l’est.
Le Rhône de Passon départ du mas du même nom, puis passe sur le pas du Bouchet, là séparation il y a constitution du bras du Galegeon, vers Fos, dans le même embranchement, il se dirige vers le sud ouest, par le marais de l’Escale, puis la Favouillane, puis se sépare, un bras descend plus à l’est sur l’étang de Lansac, cette branche sera fermée en 1583.
L’autre passe sur le Laget et l’Eyselle, fermé là aussi en 1583 en partie pour se terminer définitivement en 1587. Ce bras qui de nos jours traverserait le Rhône actuel, passe juste au dessus de Salin, il est exactement sur ce qui est de nos jours le canal du Japon, ou Bras de fer, puis il suit exactement ce qui est actuellement la roubine du Roi, dénommée aussi roubine de la quarantaine, il à été dénommé Rhône Mort, et dans sa partie inférieure il est nommé vieux Rhône. Il se perdait à l’époque dans les étangs de Rascaillan, de Beauduc et de Saint Anne, pour terminer en mer par les gras de la Dent et de Beauduc.
Le Rhône Oriental, prend source à Champtercier, puis passe sur Mas Thibert, Cappeau, Icard, Ligagneau, le Landre et rejoint le Rhône de Passion, en passant sur ce qui est de nos jours les étangs du Cappeau, d’Icard, du Trinitaire, Bondoux, et finit au Galejon. L’alignement de ces étendues d’eau confirme le passage de cette branche du Rhône. Fermé en ?
Le Rhône des Tourradons, prend naissance sur le petit Rhône au lieu dit « la Fosse » juste au dessus d’Albaron, au lieu dit Laauricet, passe sur Bramasset,sous le Scamandre, lesIscles, prend naissance sur le grand Rhône a la petite Montlong fermé en ?
Le Rhône d’Ulmet a pris naissance tout d’abord à Beaujeu, passe par Vazel, la Capelière, tour du Valat, Fournelet et se termine sur ce qui est de nos jours l’Etang du Galabert, fermé en ?
Le Rhône du bras de fer, à existé de 1587 à 1711dénommé aussi canal du Japon ; prend naissance au Petit Peloux, passait sur St Bertrand, le Vedeau, Grand Badon, Faraman et Tour de St Genest. A été complètement obstrué en 1725, depuis que le Rhône eut tiré « tout droit » .
Le Rhône de St Roman ; s’est servi de celui de Peccais pour exister, il se dirigeait vers Aigues Mortes.
Le Rhône de la Ville, résurgence de celui de Peccais, entre le Rhône mort aux tombes et celui de St Roman.
Le Rhône d’Albaron, il démarre de la tour de Rougnouse et se termine dans le petit Rhône à Albaron, en gros sans que vous le sachiez vous y roulez dessus entre Arles et Albaron, la route actuelle a été construite sur des alluvions caillouteuse de ce Rhône. Il a été asséché par la fermeture de sa prise d’eau au grand Rhône en 1440, prenait sa naissance a la tour de Rougnouse.
Le Rhône de Galéjon a pris naissance depuis le Rhône de Passons et il se jettera a la mer dans ce qui est actuellement l’étang du Galéjon, a l’endroit de cette verrue immonde l’aciérie Mital, entre Fos et PSL.
Messages
1. Les Rhônes, 25 juillet 2018, 09:26, par Morra
Bonjour, les commentaires sur le Bras de Fer disant qu’il a été obstrué en 1725 est une absurdité, un document de 1755/1756 des archives communales d’Arles indique qu’une écluse sera faite en partie basse du Bras de Fer pour éviter que la mer ne remonte dans les terres.
"...Toutes les fois qu’on voudroit ouvrir l’écluse pour introduire de l’eau dans le canal pour la navigation, soit pour l’exportation des sels, soit pour le transport des denrées ou des matériaux des tènements riverains, soit pour les batteaux des pescheurs qui vont et viennent fréquemment sur les bords de la mer...".
Des dizaines de documents parlent des soucis rencontrés pour permettre le transport du sel de Badon, toutes les années le bras de fer était curé, des entreprises étaient missionnées pour faire le travail.
Malheureusement, beaucoup d’auteurs fond du copié collé, c’est tellement facile.
Bien à vous M Morra