Théodore Aubanel, poète provençal, « Primadié » du Félibrige mais aussi imprimeur- éditeur de son métier.

Le poète de la « Mióugrano » et des « Fiho d’Avignoun », qui chanta en provençal l’Amour, la Beauté et la Femme, tout en restant fidèle à sa foi, pouvait-il être accepté en son temps par la bourgeoisie avignonnaise ?