Mowgli de mailhan : vaillant à souhait, il refuse rien et c’est dans la pression qu’il se montre le plus brillant.
Carmen à son retour.

Poulidet de Cuillè : sort avec de l’envie.
Pris au vire vire il sait se montrer finisseur corne aux bois mais les blancs lui en laissent trop peu l’occasion. Aux ficelles, même chose. Tiré sur le raset, le biou sait finir et Carmen se fait entendre.

Couet de Chauvet : brillant, il prend tout et finit corne au bois.
Faisant le pas légèrement, Carmen retentit avec ses légères anticipations. Son coup de tête à droite posera problème.

Attila de Lautier : sérieux cocardier.
Place à la planche, il voit tout et ne vient que sur les rasets consentis et arrêtés. Changement de terrain, vista dommage qu’il réintègre le toril prématurément. Carmen.

Caruso de Saumade : placé, il se jette dans le terrain des blancs et ses légères anticipations font entendre le Carmen.
Brillant aux ficelles, il améliore sa course dans le vire vire avec son léger pas, finissant aux bois quand on le tire . Carmen.

Vaccares de Ricard : craint, on s’impatiente.
Seul Martin Cocher tente et y fait la cocarde. Placé à la planche, se jetant fort à l’encontre, finissant tout autant, Carmen retentit. Rentre sa cocarde. Carmen.

Farfadet de La Galère : petit hors point où les blancs ont rendu les armes.
Toujours en mouvement, il offre sa tête sur un plateau et sait finir très fort à la planche quand on le tire. Place à la planche, le Carmen retentit lors des rares finitions du biou. Sur une anticipation le biou malmène sans mal Montesinos. Termine sur une bonne note cette course.