Date et lieu de toutes les courses :
 
1976, 1 sortie
7 juin : Nîmes (doublen pour les charlots de la troupe taurine El Bombero Torero)
 
1977, 3 sorties
3 juillet : Aigues-Vives (début en course camarguaise)
24 juillet : St-Christol
28 août : St-Laurent-d’Aigouze
 
1978, 8 sorties
27 mai : Beauvoisin
14 juillet : Le Cailar
13 août : Vauvert
19 août : Lansargues
16 septembre : Lunel
16 octobre : Aigues-Mortes
21 octobre : Bellegarde
1er novembre : Vauvert
 
1979, 8 sorties
9 juin : Beauvoisin
16 juin : Lunel
2 juillet : Redessan
21 juillet : Baillargues
4 août : Le Cailar
15 août : Paluds-de-Noves
29 août : Beauvoisin
23 septembre : Aigues-Vives
 
1980, 12 sorties
16 mars : Aigues-Vives
4 mai : Grau-du-Roi
18 mai : Beauvoisin
22 juin : Sommières
6 juillet : Vauvert
23 juillet : St-Christol
3 août : Sommières
16 août : Vauvert
7 septembre : Lunel
21 septembre : Nîmes
5 octobre : Sommières
26 octobre : Vauvert
 
1981, 13 sorties
19 avril : Lunel
2 mai : Nîmes
17 mai : Beaucaire
31 mai : Arles
21 juin : Sommières
7 juillet : Châteaurenard
27 juillet : Beaucaire
14 août : Vauvert
30 août : St-Génies-des-Mourgues
13 septembre : Lunel
27 septembre : Palavas
18 octobre : Nîmes
8 novembre : Arles
 
1982, 11 sorties
4 avril : Lunel
26 avril : Beaucaire
23 mai : Saintes-Maries
13 juin : Port-St-Louis
3 juillet : Arles (Cocarde d’Or)
26 juillet : Beaucaire
23 août : Mouriès
4 septembre : Beauvoisin
26 septembre : Palavas
10 octobre : Nîmes
1er novembre : Vauvert
 
1983, 10 sorties
27 mars : Lunel
17 avril : Beaucaire
19 juin : Nîmes
3 juillet : Châteaurenard
24 juillet : Beaucaire
22 août : Mouriès
4 septembre : Lunel
18 septembre : Nîmes
9 octobre : Arles
30 octobre : St-Gilles
 
1984, 9 sorties
23 avril : Lunel
20 mai : Nîmes
10 juin : Lunel
1er juillet : Châteaurenard
22 juillet : Beaucaire
19 août : Vauvert
16 septembre : Nîmes
14 octobre : Nîmes
11 novembre : Pérols
 
1985, 11 sorties
8 avril : Lunel
28 avril : Nîmes
12 mai : Saintes-Maries
26 mai : Nîmes
9 juin : Beaucaire
7 juillet : Châteaurenard
21 juillet : Beaucaire
15 août : Grau-du-Roi
15 septembre : Nîmes
13 octobre : Arles
3 novembre : Nîmes (mano a mano Chomel - Nimeno II)
 
1986, 9 sorties
31 mars : Lunel
20 avril : Nîmes
19 mai : Lunel
29 juin : Palavas
20 juillet : Beaucaire
15 août : Grau-du-Roi
14 septembre : Beaucaire
19 octobre : Lunel
Il novembre : Pérols
 
1987, 2 sorties
10 mai : Vauvert
16 août : Grau-du-Roi (despedida)

Nombre total de courses : 96

  • Course d’adieu le dimanche 16 août au Grau-du-Roi comprise.

Ourrias tout jeune à la Tour

Ourrias a couru 14 fois aux arènes de Lunel et 13 fois aux arènes de Nîmes.

Remarques :
De nombreux afeciouna affirment qu’il faut suffisamment espacer les courses de chaque taureau afin de préserver leur moral. C’est une sage initiative mais chaque taureau a son caractère et ses particularités que le manadier doit déceler afin de conduire au mieux la carrière du taureau. Ainsi Ourrias a effectué, notamment lors de la saison 1978 alors qu’il était très jeune des sorties très rapprochées. Cela n’a pas nui à son comportement. La suite et l’exemplarité de sa carrière en sont la preuve.

Anecdote :
Tous les taureaux célèbres ont eu dans leur carrière des moments étonnants.
Ourrias n’échappe pas à la règle.
Ainsi, le 2 juillet 1979, aux arènes de Redessan, Ourrias (qui court emboulé) a effectué 3 quart d’heure dans l’après-midi.

Premier quart d’heure : il passe son temps à sauter dans la contrepiste. Jean-Pierre Durieu qui a décelé chez Ourrias de sérieuses qualités, demande à Alexis président des clubs de le laisser quinze minutes supplémentaires. Le taureau continue de sauter, puis enfin se fixe et il réalise de grosses actions à la barrière.

Mais, son après-midi n’est pas terminé.
En effet, une vache se casse une corne et doit réintégrer le toril. Tous les taureaux et vaches ont déjà couru. Le public et les membres du club demandent un dernier taureau pour clôturer l’après-midi. Alors Jean-Pierre Durieu fait à nouveau sortir Ourrias pour un quart d’heure où il saute et effectue également des coups de barrière.

Trois quarts d’heure dans l’après-midi, c’est rarissime. Mais, cela prouve que les taureaux qui ont du " sang " et de la classe savent exploiter les situations exceptionnelles.

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