SAUROUM fait son entrée, nerveux, il se déplace mais prend tout de même les actions. Il cède la coupe à Maurel, la cocarde à Ibara, les glands à Maurel et Bouhargane.
Aux ficelles il se pose et calcule et devient cocardier. Plus difficile, il cède la première à Jamal B. et rentre la seconde. 2 carmens et rentrée.

PABEU se voit subtiliser la coupe par Jamal B. Tape sur Lafare et s’envole sur Jamal B. et déclenche le disque. Il cède les rubans sous ovation. Voilà les ficelles : il est imprévisible, monte sur le tourneur, se jette sur Jamal B. et s’envole. Gaucher au possible il rentre sa première sous le disque.

UCHAUDOIS  : cède vite les rubans, gland à Grammatico, Cocarde à Jamal B. et second gland à R. Marquis. Il n’hésite pas à passer la tête et prend à droite comme à gauche. Un coup de tête dangereux oblige les hommes à plus de retenue. La première ficelle tombe sur Jamal Bouhargane et la seconde dans le crochet de Maurel. Un biòu dangereux, à revoir.

PEDRO : Plus fin il semble nerveux ! Rudy Marquy coupe, Gaby Montesinos décroche le chiffon rouge, Jamal B. fait le premier gland et là il explose !!!! énorme coup de barrière sur Jamal Bouhargane, déclenche le disque, 2 ème gland à Sabot et se déchaîne. Surveille, il veut garder la maîtrise de la piste. Il chasse. Il transporte Montesinos sur son frontal ! Stupeur ! Il met les tenues blanches en danger sur chaque action. Le disque s’emballe, les hommes se lancent il décoche des fusées et Sabot lève la première. 8 carmens et rentrée.

CALIGNAÏRE  : Fantasque, il saute et tape sur tout ! Même seul ! Les hommes malgré des tentatives volontaires n’arrivent pas à structurer leurs passages. Hubert Espelly aura du travail en piste. Il a certes beaucoup de violence mais ne pourra convaincre sur les rasets.

TYROSSE  : Suit les traces de Calignaïre, Jamal coupe, Sabot lui dérobe la cocarde et le 1er gland. Tyrosse se défoule. Il saute, tape aux planches et aux poteaux mais sans suivre les rasets des hommes qui ont envie, qui travaillent mais n’en tire rien. Il rentre au toril épuisé et sans avoir convaincu.


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