La Bouvino : Changeons un peu de thème et parlons emprésarios.
Verra-t-on un jour Robert Archet entre les mains d’un homme qui lui préparera sa saison ?

Robert Archet : Non, je crois qu’il faut être réaliste dans la vie.

Je n’ai pas l’impact de Christian Chomel.
Donc je ne veux pas faire des choses qui ne me serviraient à rien. Mon calendrier se remplit au fil des saisons.
Christian subit beaucoup de pression et un empresario lui retire une grande part de soucis, lui permet une meilleure concentration avant la course en lui évitant les sollicitations.

Vraiment pour moi, l’idée d’un empresario ne s’impose pas à l’heure actuelle.