Saint Étienne du grès. Demi finale du trident d’or.
Le plein pour cette demi finale très intéressante sur le papier.
Mais qui a pas rendu.
Un manque de travail des blancs et des taureaux en dessous par rapport à la dernière prestation.
Lagarde obtient 202 pts et La Galère 193 pts. Mais rien n’est fait.
Attendons ce vendredi la seconde demi finale. Côté blanc, Aliaoui totalise, mais le retrait de Zbiri et Gaillardet sur blessure à fait diminuer le travail.
Vaquero de La Galère 819 : beaucoup trop en mouvement et pas dans un bon jour, les hommes ne l’aident pas à se reprendre.
Aux ficelles, le biou se calmera un peu. Mais les hommes essayent trop de le couilloner.
Lorsqu’on le tire, il sait finir fort aux bois et malmene sans mal Zbiri et gaillardet. Finit mieux qu’il a débuté.
Uchaudois de Lagarde 812 : prenant tout et se montrant percutant à la planche, sa bravoure nous font passer rapidement aux ficelles.
Mieux calé aux ficelles, il se montrera vaillant et brave à l’encontre mais se livrant trop, il rentre nu sous les honneurs.
El passo de La Galère 826 : plus sérieux que ses deux prédécesseurs, il sort fort au raset et joue des cornes à l’encontre et jusqu’a la planche.
Aux ficelles, il monte d’un ton. Son placement et sa vitesse pour sortir sur les hommes font baisser le rythme. Ne prenant que les rasets où l’homme rentre dans son terrain, il rentre ses deux ficelles.
Carmen.
Ouranos de Lagarde 819 : vaillant et brillant, il joue des cornes à l’encontre et sort fort sur le blanc.
Montesinos manque la correctionnelle par deux fois. Plus sérieux aux ficelles, il attend du combat. Mais sa légère anticipation* et ses cornes menaçantes font réfléchir.
Carmen à son retour.
Vigneron de Lagarde 815 : du sang et de l’énergie à revendre.
Calé à la planche, il sort fort sur le raset et finit tout autant, voire même au delà. Ne refusant rien, il n’a aucune difficulté une fois que l’homme a passé son terrain.
Aux ficelles, ses envolées spectaculaires refroidissent l’ardeur des hommes.
Jappeloup de La Galère 837 : rapide à enchaîner les séries, sort fort et finisseur aux bois cornes menaçantes, les hommes réfléchissent pour l’entreprendre.
Aux ficelles, même chose, le biou attendra le combat. Il en aura mais du travail trop discontinu.
Dommage.