Dès la 2eme minute, Regain des Baumelles est rendu aux ficelles.
Sans rien refuser, il se defend avec énergie et quand on lui donne l’occasion, il accélère a lasortie du raset comme après Four ou Chekade.
Un léger coup de tête lui permet de protéger ses ficelles qu’il rentre applaudi et en musique.

A 13 ans, Agassoun de Blanc a encore beaucoup d’énergie.
Il se livre avec générosité, profilant même la corne en plusieurs occasions. Du placement et des changements de terrain desserrent l’étreinte. Une longue serie, entièrement assumée, lui fait ecouter carmen.
On note une grosse percussion sur Auzolle mais lui aussi il garde aisément ses ficelles.

Une minute à peine et Cerf de Saint-Pierre passe aux ficelles.
A partir de là, il se montre offensif tout en baissant les cornes. Un long enchaînement lui permet de s’investir de tous les bords obtenant ainsi plusieurs récompenses.
Brillant et combatif, il réussit à sauver une ficelle.

Le 4eme Mérou de Saumade, demarre timidement alternant les poussées et les refus.
Les ficelles ouvertes et la pression qui en découle lui donnent l’occasion de retrouver son côté barricadier notamment avec Four. Du coup, c’est ce dernier qui ôte la première....et aussi la seconde à la 9 ème.

A 6 ans, Serpatier d’Espelly-Blanc n’ a pas fait de complexe face à une partie de l’élite.
Répondant avec force aux attaques dans son terrain, il sait aussi comment se placer. Four, sur un raset d’école, se fait percuter en puissance.
Avec calme, il gère sa prestation et Martin, parti à l’abordage, doit traverser toute la piste.... Dix minutes performantes et prometteuses.

Pris dans la tourmente, Aroujo de Guillierme est tout d’abord empêché de se poser pour mieux s’exprimer.
Aux ficelles, il améliore son comportement en retrouvant son instinct de barricadier avec plusieurs gros tampons comme après Four et Chekade qui sont à la lutte pour le Trophée. Et du coup il séduit le public par son brillant, lâchant ses deux ficelles à Amine revenu à un point de Bastien.
Le Trophée Santen, Francois Fabre, sur les étagères du Cailar !

Quant au dernier Utaka de Saint-Gabriel ( ou de Nicollin ?) à 6 ans, il ne fait pas dans la dentelle avec des percussions surpuissantes.
La bataille continue ça le met dans la tourmente et il fléchit. Une belle séquence où il se dresse après Chig, répétant après Auzolle et enchaînant un saut sur Chekade.
A revoir.