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L’accueil :

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La soirée fut dirigée de main de maître par Yves Bustin, chroniqueur taurin ami de la famille Linsolas. Grâce à son synopsis, qu’il eut l’amabilité de nous céder, nous pouvons vous décrire séquentiellement, le déroulé de la soirée.

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Sans la salle :

Avant de commencer...

Soirée hommage à Ratis et Garlan 17/02/2012

Après un petit film sur Michou, Jacky Menouret lui rend hommage.

Nous sommes réunis ce soir ici vous le savez, c’est pour mettre à l’honneur les 2 manades saintoises qui ont offert en 2011 un double à la capitale de la Camargue dans les 2 compétitions du trophée taurin.
Mais on y reviendra dans quelques instants.

Avant cela, je tiens à apporter une précision qui a son importance : si je présente cette soirée, ce n’est pas en tant que chroniqueur taurin mais en tant qu’ami d’enfance de Sylvie et Joël Linsolas et de ce fait supporter depuis toujours de la devise rouge, gris et blanc.
Mais aussi en tant que saintois et ami de longue date de la famille Raynaud.

Voilà, cela étant précisé, permettez-moi d’abord de vous dire quelques mots sur la manade Raynaud. Un nom qui représente tant pour la bouvine, dont les plus anciens se souviennent avec beaucoup d’émotion quand on évoque les Régisseur et Evêque, les 2 fleurons du milieu des années 50.
Sur ces terres ingrates du Grand-Radeau, à quelques pas de la mer la famille Raynaud a fêté, il y a quelques années, le centenaire de la manade et on ne peut pas ne pas citer les 5 générations en commençant par Mathieu, le créateur a l’âge de 58 ans, suivi par Raynaud et, Casimir et Jacques, Marcel et Jean et maintenant Frédéric.
Une longue dynastie digne et déterminée.
Alors quand Frédéric est allé chercher le trophée qui récompensait Ratis le Biòu de l’avenir au mois d’octobre dernier dans les arènes de Chateaurenard, l’ovation qui s’est élevée avec tout le peuple camarguais debout ont constitué un instant rare, celui de la reconnaissance d’un long travail, semé d’embûches qui enfin engendre le bonheur et fait vibrer toute notre passion.

Ratis, un nom qui veut dire en latin, si on lui rajoute oppidum, Notre-Dame-de-la-mer, c’est à dire l’église des Saintes.
On va regarder un petit film réalisé par Henri Vigne.

Laissons maintenant la parole à Frédéric et à Marcel Raynaud.
(...)


Lors des discours :


Passons à la manade des Baumelles avec leur premier Biòu d’or Garlan qui constitue enfin la reconnaissance et la réussite d’une manade qui n’a que 20ans cette année.
Garlan, comme j’ai titré, un jour, le cocardier majuscule, Garlan qui lui possède son triple A : a comme attention, a comme anticipation et a comme accélération.
Mais ce résultat est dû a un long travail au quotidien, comme vous le savez. Alors a cet instant, je me permets d’attribuer a Joël une récompense personnelle, le « cœur d’or » car Joël Linsolas a toujours su donner sans jamais penser à recevoir...alors de Bellegardais à Garlan en passant par Michou, Rodin et la cocardière d’or Marico, c’est l’histoire de 20 ans d’amour des bêtes et de 20 ans d’amitié.

Passons maintenant a quelques images sur Garlan, images signées une nouvelle fois par Henri Vigne, aussi gardian amateur a la manade des Baumelles.

Je passe le micro a Joël et Guillaume.

Maintenant à la demande de la famille, on va appeler quelques personnes qui étaient là en 1992 au tout début de la manade, ce qu’on peut appeler les années « galère ».
Tout d’abord Mr Jacques Mena, Mr Jean-Louis Bernard, Mr Guy Cordin, Mr Francis Monteil, Mr Michel Fabre, Mr Leo protte, Mr Fredro Gardes, Mr Jean, le frère de Joël et Mr Jacky Menouret, les 2 manades ont tenu aussi a rendre un hommage appuyé et mérité aux gardians salariés qui sont avec les bêtes au quotidien. On peut les applaudir.


Quelques amis :


On n’oubliera pas toutes celles et tous ceux et ils se reconnaîtront qui travaillent dans l’anonymat, ceux qui trient, qui font les abrivado, qui participent aux ferrades, aux soins vétérinaires, ceux qui encocardent ou qui conduisent les camions.
Je vous demande de les acclamer.

Joël et Sylvie ont tenu a décerner quelques hommages à des personnes qui sont un peu le symbole d’une longue histoire entre leur manade et le village voisin de Saint-Laurent d’Aigouze.
Je vais appeler Venicio Tognetti, Tony le plus camarguais des anglais et Bernard Manta.
Enfin le premier Biòu d’or de la manade est dédié a leur ami Francis Chassefiere, toi Francis qui, je suis sûr, a pris place ce soir dans les gradins du ciel.

Et maintenant, je donne la parole aux co-directrices du trophée taurin, et au président de la fédération.

Notre félibre Laurent Ayme souhaite dire quelques mots.

Un discours de haute volée. Quelle volonté dans le regard !

C’est a vous Mr le maire.

Avant de conclure, je vous demande encore un peu de patience pour écouter l’ambassadrice de la Camargue Régine Pascal nous interpréter la Coupo Santo en l’honneur de Ratis et de Garlan.

Note du Rédacteur :
Régine Pascal avant d’entonner, toujours aussi remarquablement, la Coupo Santo tint à honorer personnellement, le premier Club Taurin portant le nom de Garlan. Il est sis à Gallician et voici le président.

On peut s’approcher sans se bousculer et sans stationner devant le buffet, un buffet préparé par le traiteur Vincent Rouzaud offert par les deux manades.