Arlesien (542) de la Galère : bon premier.
Vaillant et finisseur à gauche ; aux pompons il répond à tous les Cites malgré le rythme effréné des blancs.
Aux ficelles, même chose et le biou répond de plus en plus fort et le Carmen retentit.
Carmen à son retour.

Valmont de Lautier : il connaît la musique.
Placé à la planche, anticipant, il conserve ses attributs.
Aux ficelles, même comportement du biou, et sera honoré de carmen par ses anticipation à droite.

Marcias (442) de Mailhan : brillant et vaillant, c’est à gauche qu’il se montre le plus percutant et virulent.
Aux ficelles, il souffrira d’un manque de travail et son coup de tête n’aidera pas les hommes.

Mari Peu (626) de Gillet : un peu perdu en son début il se chauffe des la première séries où il fait retentir le disque à ses grosses finitions.
Aux ficelles, il se cale dans l’angle du toril et attend. Anticipant légèrement, il se montre percutant dans ses finitions. Dommage qu’il n’aie aucune difficulté à sa tête pour conserver ses ficelles.
Carmen à son retour.

Estepous (401) de Guillerme : beaucoup trop en mouvement, il donne sa tête sur un plateau et sa vaillance et sa bravoure nous font vite passer aux ficelles.
A celles-ci, le biou se révèle brillant et vaillant. Ouffe reste coincé à la ficelle et se fait malmener à la barrière sans mal.
Vraiment trop brave, il rentre nu sous le disque.

Mephisto (319) de Saumade : trois séries et on passe aux ficelles. Aux ficelles, il manque de percutant sur les rasets qu’il prend mais s’arrête de suite. Vraiment brave, il rentre nu sous silence.

Esmero (308) de Caillan : ce hors point aura mis du temps à démarrer.
Les hommes baissent de rythme. Mais, sous l’initiative de Chekade, les hommes l’entreprennent et, notamment à gauche, le biou se montre barricadier honoré du disque.
Termine gaiement cette course.