"Le trophée taurin fait appel à ses adhérents, tout au moins aux lecteurs du journal, pour donner leur avis, ou leur choix, sur le "Bióu d’Or" 2018 en tenant compte que l’ensemble des votants compteraient pour une voix dans le concert de leur jury .

Tiens donc !

Les vieilles barbes du concile taurin seraient tout à coup à court d’idées sur la question ?

Eux qui ont préservé jalousement le privilège de choisir sans partage depuis 1952 un "biòu d’Or" à leur convenance ?

Y aurait-il à ce point une déficience professionnelle au "comité directeur" ou un embarras à choisir parmi des taureaux de la finale dont le moins que l’on puisse dire est que aucun n’a la stature d’un biòu d’Or ?

Et alors me direz vous ?
Est-il utile de vouloir à toute force désigner un champion pour garder sa dignité ?

Les manadiers de la finale mériteraient autre chose qu’un trophée usurpé pour la gloire d’un journal."

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