« Décidément, Denis Ceccarini, le toubib-manadier est une mine de renseignements !

Vous souvenez-vous, amis des chevaux, des représentants de cette race très présente en Camargue au temps où le moteur n’avait pas totalement détrôné le cheval ?

Je veux parler du cheval provençal, croisement issu du Camargue local, des chevaux lourds des alpages utilisés lors des transhumances ou des pur-sang-arabes syriens.

Ces derniers entraient facilement sur nos terres puisque la Pax Francorum [1] régnait jusque là-bas.

Denis Ceccarini se souvient d’avoir perpétué cette race jusqu’en 1960 et d’avoir gagné des épreuves de concours complet d’équitation grâce à ces chevaux ! »

[1allusion au traité de paix prétendument signé en 803 entre Charlemagne et Nicéphore Ier empereur byzantin pour fixer leurs frontières impériales