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• 1. Une bonne nouvelle pour la FFCC, 29 novembre 2015, 09:24, par VOVO

  POURQUOI PAS L’ORGANISATION D’UNE COURSE STYLE " finale ", d’où les bénéfices seraient entièrement reversés à la F.F.C.C ?

  Pour que vive et perdure la " fe di biou " !

  • 1. Une bonne nouvelle pour la FFCC, 30 novembre 2015, 12:03, par Liberté

    Vovo, faut pas rêver ! le trophée Taurin que vous avez l’air de mal connaître fera tout pour faire capoter cette idée, rappelez vous "les Masters" qui ont été boycottés en leur temps s’agissant d’un projet Fédéral.
    D’autre part il est anormal que des poursuites ne soient pas engagées à l’adresse de ceux qui ont pillé les caisses de la FFCC. car il s’agit là de l’argent des cotisations des licenciés. Quand aux subventions, son principe n’a de valeur que si elles encadrent un projet bien spécifique. Ceux qui continuent à croire que l’argent va continuer de couler à flot des organismes publics sont à mille lieux de la réalité. Je le dis à nouveau "balayons devant notre porte" sans attendre l’aumône les bras croisés. Liberté.

  • 2. Une bonne nouvelle pour la FFCC, 30 novembre 2015, 13:54, par VOVO

    Je suis farouchement opposé au conflit F.F.C.C/TROPHEE TAURIN,
    comme je le suis également pour le titre de raseteur champion de FRANCE, concernant 4 départements !
    En revanche, il est normal que la justice doit s’appliquer pour tout et à tous.

    Voici une anecdote rapportée par M. René PALPANT sur une abrivado à BAILLARGUES :

    Ce jour-là, vexé de conduire une abrivado à BAILLARGUES - abrivado commandée par les monarchistes " les blancs " - le Marquis se heurta, à l’entrée du village, aux républicains
    " les rouges ", qui firent tant et si bien pour que la course ne rentre pas, que les taureaux s’échappèrent.

    Le Marquis et ses gardians aidés par " les blancs ", récupérèrent les biou et se présentèrent une nouvelle fois à l’entrée du village, mais " les rouges " déchaînés les empêchèrent d’entrer.

    Alors, le Marquis s’avança seul, éleva son trident et déclara : " Li biou soun ni rouge, ni blanc : soun nègre !... Li voulès ou li voulès pas ?

    Surpris par cette déclaration qui réveillait en eux leur appartenance à la fe di biou, qui au-delà de toutes idées reçues leur révélait une nouvelle fois que l’âme d’un pays est indivisible, tous s’écrièrent : " li voulen ! Li voulen !... ", et c’est sur une double haie d’honneur que cavaliers et taureaux pénètrèrent dans le village.

    Ce même village, qui quelques instants plus tôt était divisé puis réuni ensuite au coude à coude, uni par quelque chose de plus fort, pour les gens de cette partie du Midi : La Fe di Biou !

• 2. Une bonne nouvelle pour la FFCC, 30 novembre 2015, 14:49, par Bernard

  Belle anecdote, que je connaissais, mais d’une chose à l’autre je ne l’avais pas publiée.
  A vous lire