Sa biòugraphie sur ce site en suivant ce lien : Vovo *

Étalon d’une force brutale, Vovo courut pour la première fois en 1947 à St Laurent d’Aigouze [1], où il se montra d’une agressivité peu commune dans un fracas de planches.

C’est le début d’une extraordinaire carrière de cocardier, peu orthodoxe il est vrai, mais ô combien extravagante par son exceptionnelle brutalité et formidable par l’engouement délirant qu’il provoqua dans les arènes où il attira des foules considérables avides de sensations.

Certes, il ne fit pas l’unanimité et bien des puristes dénigrèrent son comportement explosif mais il ne faut pas oublier que jamais, ni avant, ni après, aucun autre taureau n’a eu à défendre des primes aussi importantes : jusqu’à 150 000 francs en juillet 1952 à Beaucaire pour une cocarde non enlevée, valant près de 3 millions de centimes actuels ( en 1952)

[1De Montaud Manse a besoin d’un doublen pour compléter une course qu’il doit donner à Saint-Laurent-d’Aigouze et Henri Aubanel lui prête Vovo.