La nature différente des terrains détermine quelques petites variations du type selon l’endroit où vit le cheval, ainsi les élevages des bords du grand Rhône ont en général un peut plus de taille. Par contre sur les terres pauvres, l’animal est obligé d’ingérer une plus grande quantité d’herbes pour se nourrir ce qui entraîne un développement exagéré de la "tripe". cette pauvreté du milieu est également responsable de la longueur et des défectuosités de la croissance. la rigueur du climat favorise la pousse sur le corps d’une bourre d’hiver.

Le marais sec assure au cheval des jarrets solides, alors que le marais mou favorise l’évasement du pied et confère qualités de souffle . le marais est encore responsable de la couleur fauve du bout de la queue et des "chaussettes" à l’extrémité des membres.