Dans mon intervention du 18 avril sur notre site, suite à l’article de Henri ITIER, j’écrivais en conclusion : "dans les conditions actuelles où certains n’ont toujours pas compris que c’était les spectateurs qui assuraient leur pitance et non les subventions, ils porteront la lourde responsabilité d’avoir fait couler le navire".
On le sentait venir à plein nez.
Dans mon intervention du 18 avril sur notre site, suite à l’article de Henri ITIER, j’écrivais en conclusion :
"dans les conditions actuelles où certains n’ont toujours pas compris que c’était les spectateurs qui assuraient leur pitance et non les subventions, ils porteront la lourde responsabilité d’avoir fait couler le navire".
Voilà ! on y est !
Liberté.