"La Fédération a bien essayé il y a quelques années de contrecarrer cette institution par la création d’un championnat de France mais est vite rentrée dans le sillon de cette organisation privée."
Si ma mémoire est bonne, il me semble qu’il ne s’agissait pas de contrecarrer le TT mais surtout, de se mettre en conformité avec les instructions du ministère de tutelle, les Sports. Une fédération sportive se devait d’avoir son championnat si elle voulait continuer à percevoir les subventions de fonctionnement et il en fallait, rappelons-nous de tout ce qui a disparu "Stars de demain" à Méjanes, les soirées "Prestiges", ....
L’équipe fédérale de l’époque avait trouvé la solution de calquer le championnat sur le trophée ce qui était le plus simple et en plus, tout prêt.
Par contre, à son actif, il faut se souvenir qu’elle avait cherché à rendre cette compétition quelque peu vieillissante, en innovant, sous les conseils de l’A.T. Camarina, en mettant en place les Masters, synonyme de la beauté du geste.
Les journaux n’apprécièrent pas et on sait ce que les Masters sont devenus.
"La Fédération a bien essayé il y a quelques années de contrecarrer cette institution par la création d’un championnat de France mais est vite rentrée dans le sillon de cette organisation privée."
Si ma mémoire est bonne, il me semble qu’il ne s’agissait pas de contrecarrer le TT mais surtout, de se mettre en conformité avec les instructions du ministère de tutelle, les Sports.
Une fédération sportive se devait d’avoir son championnat si elle voulait continuer à percevoir les subventions de fonctionnement et il en fallait, rappelons-nous de tout ce qui a disparu "Stars de demain" à Méjanes, les soirées "Prestiges", ....
L’équipe fédérale de l’époque avait trouvé la solution de calquer le championnat sur le trophée ce qui était le plus simple et en plus, tout prêt.
Par contre, à son actif, il faut se souvenir qu’elle avait cherché à rendre cette compétition quelque peu vieillissante, en innovant, sous les conseils de l’A.T. Camarina, en mettant en place les Masters, synonyme de la beauté du geste.
Les journaux n’apprécièrent pas et on sait ce que les Masters sont devenus.
Souvenirs :
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