Dérivé du verbe bandi, c’est le Languedocien Vézian qui semble avoir introduit le mot dans la littérature gardiane .En 1925 Bouzanquet dans son livre Le taureau Camargue ne cite pas ce mot, donc il est postérieur a cette date.
A/ il y à la classique « bandido sus païs » c’est-à-dire le lâcher des taureaux, après la course, dans leurs pâturages. La vraie bandido n’est donc possible qu’en terre d’élevage.
B/ On parle maintenant de « bandido pèr carriero »manière tout a fait récente de lâcher des taureaux dans les rues. Cette pratique qui à moins de 20 ans, fait flores presque partout sous l’appellation fallacieuse d’encierro.
Li gardian soun à chivau, se douno la bandido.Prouvenço1906.
Dérivé du verbe bandi, c’est le Languedocien Vézian qui semble avoir introduit le mot dans la littérature gardiane .En 1925 Bouzanquet dans son livre Le taureau Camargue ne cite pas ce mot, donc il est postérieur a cette date.
A/ il y à la classique « bandido sus païs » c’est-à-dire le lâcher des taureaux, après la course, dans leurs pâturages. La vraie bandido n’est donc possible qu’en terre d’élevage.
B/ On parle maintenant de « bandido pèr carriero »manière tout a fait récente de lâcher des taureaux dans les rues. Cette pratique qui à moins de 20 ans, fait flores presque partout sous l’appellation fallacieuse d’encierro.
Li gardian soun à chivau, se douno la bandido.Prouvenço1906.