Compte-tenu de ce qui précède, une solution parmi d’autres, sans recours à d’innombrables règlements serait de :
Remonter la hauteur des barrières (les razeteurs -comme les anciens- s’aideraient de leurs mains pour sauter, et le taureau serait moins enclin à sauter-les razeteurs auraient moins d’ennuis musculaires).
Cela ferait revenir bon nombre de spectateurs dans la contre-piste, et faciliterait la transmission avec le public sur les gradins. (La plupart des contre-pistes étant un désert, et pour peu que le soleil brille, on a l’impression que là où l’action se déroule, il n’y a personne aux arènes)
Remonter "l’estribo" (en cas de nécessité, le razeteur pourrait s’échapper plus facilement)
Compte-tenu de ce qui précède, une solution parmi d’autres, sans recours à d’innombrables règlements serait de :
Cela ferait revenir bon nombre de spectateurs dans la contre-piste, et faciliterait la transmission avec le public sur les gradins.
(La plupart des contre-pistes étant un désert, et pour peu que le soleil brille, on a l’impression que là où l’action se déroule, il n’y a personne aux arènes)