Je trouve dans l’analyse fine de Nicolas TRIOL une approche réaliste de la situation de notre course Camarguaise. Je crois qu’il a bien cerné le problème conflictuel entre les parties en présence avec chacune des intérêts particuliers à défendre, ce qui est un casse tête chinois pour ceux qui ne savent toujours pas discerner le grain de l’ivraie. Aujourd’hui dans notre société tout est compliqué et les problèmes ne se résolvent pas sur des "à priori" ou sur des raisonnements simplistes en évoquant un passé révolu. Je ne partage pas les idées de "Vovo" sur cette analyse spécifique, même si l’on peut regretter parfois un temps où tout nous semblait idéal. Il n’est qu’à jeter un regard sur les 50 dernières années de courses camarguaises pour mesurer son évolution en même temps que l’évolution des mœurs. Il ne s’agit plus déjà de parler de "courses libres" puisque l’on est dans l’aire des "courses Camarguaises".
Je souhaite seulement que NT explicite un peu mieux sa pensée sur le "professionalisme", qu’il évoque, car il y a déjà des professionnels dans ce métier qui auraient tendance à trop tirer la couverture à eux. A commencer par ceux qui ont un intérêt flagrant à maintenir les choses en l’état. Me suis je bien fait comprendre Nicolas ? Liberté
Je trouve dans l’analyse fine de Nicolas TRIOL une approche réaliste de la situation de notre course Camarguaise. Je crois qu’il a bien cerné le problème conflictuel entre les parties en présence avec chacune des intérêts particuliers à défendre, ce qui est un casse tête chinois pour ceux qui ne savent toujours pas discerner le grain de l’ivraie. Aujourd’hui dans notre société tout est compliqué et les problèmes ne se résolvent pas sur des "à priori" ou sur des raisonnements simplistes en évoquant un passé révolu. Je ne partage pas les idées de "Vovo" sur cette analyse spécifique, même si l’on peut regretter parfois un temps où tout nous semblait idéal. Il n’est qu’à jeter un regard sur les 50 dernières années de courses camarguaises pour mesurer son évolution en même temps que l’évolution des mœurs. Il ne s’agit plus déjà de parler de "courses libres" puisque l’on est dans l’aire des "courses Camarguaises".
Je souhaite seulement que NT explicite un peu mieux sa pensée sur le "professionalisme", qu’il évoque, car il y a déjà des professionnels dans ce métier qui auraient tendance à trop tirer la couverture à eux. A commencer par ceux qui ont un intérêt flagrant à maintenir les choses en l’état. Me suis je bien fait comprendre Nicolas ? Liberté