Qui lui a dit que les taureaux se tuaient lors d’une abrivado ou d’une bandido ?

Il l’a constaté peut-être ?
Non bien évidemment mais c’est l’histoire de "l’homme qui a vu l’homme qui avait rencontré l’homme, etc... qui avait vu l’ours et qui n’avait pas eu peur".

Parler sans savoir, parler sans connaître.
Que d’inepties !!!

Encore un qui croit que les vaches laitières naissent sans cornes ! Eh oui, sinon il s’en serait occupé....

Tout est parti de cet article du journal "Le Monde" du 7 janvier 2023 :

Tauromachie : il faut « réformer la bouvine » et mettre fin à « certaines pratiques archaïques » *

où il est précisé :
"Si cette activité tauromachique (la Bouvine, NdR) se fait sans mise à mort, elle provoque mutilation et souffrance animale."

« Nous voulons une bouvine empathique, qui prend soin des taureaux », note Coralie Mantion (EELV)
On croit rêver !

Dans cet article est donnée la définition du bistournage :
"L’opération consiste à inciser le scrotum afin de dégager les testicules pour les tourner jusqu’à ce qu’ils tombent."
ou
"(...) stériliser les taureaux en posant un élastique au-dessus des testicules, durant trois à sept semaines (...)"

Ils ont oublié les casseaux... et qu’on était en 2023 !

Mais en lisant tranquillement, le but ultime de la manœuvre s’entrevoit :

"Les acteurs de la bouvine préparent une demande d’inscription à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco (...) Cette reconnaissance sanctifierait à la fois les courses, mais surtout les gestes et le savoir-faire qui s’y rattachent. "

Conséquence : l’activité deviendrait intouchable.
Alors vite, vite, il faut provoquer l’horreur.

Sur le Net vous pouvez consulter :

lors de la Levée des Tridents *