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Le "Pape" de la Bouvine :

mardi 2 juin 2020, par Salva

Monsieur et Madame Paul Laurent :

5 Messages de forum

  • Le "Pape" de la Bouvine : Le 2 juin 2020 à 14:40 , par Bernard

    Un ouvrage a été consacré à cet élevage, il a été écrit par D.J Valade et Marcel Pol
    — "Un siècle d’avenir en Camargue : la manade Laurent"
    — édité par les éditions Notre Dame, en 1993

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    • Le "Pape" de la Bouvine : Le 2 juin 2020 à 15:16 , par Liberté

      Dans le livre "GOYA seigneur de Camargue" aux éditions Le Camarigo, Gérard PONT l’auteur de cet ouvrage nous dépeint le portrait de Paul LAURENT en termes élogieux au chapitre III.

      La naissance du trophée Taurin imaginée par Georges THIEL, Paul LAURENT et Mario GARDIOL y est évoquée comme une heureuse initiative.

      A lire ou à relire pour mesurer depuis sa création ce qu’est devenue cette compétition.

      Ses fondateurs doivent se retourner dans leur tombe.

      Je ne peux m’empêcher de citer ce passage de Paul :
      - "pour organiser des courses libres, il faut d’abord organiser les esprits ; faire comprendre à tous que l’intérêt personnel passe d’abord par l’intérêt collectif, et faire en sorte que tous les participants y retrouvent leur compte.

      On est loin du compte.

      Liberté

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      • Le "Pape" de la Bouvine : Le 2 juin 2020 à 17:09 , par Salva

        Dans le même sens :

        Extrait de "GOYA seigneur de Camargue" de Gérard PONT, éditions Le Camarigo, page 21 :

        "(...) Monsieur Georges Thiel — Directeur du Journal " Le Provençal " — imagina la mise en compétition d’un trophée que son journal patronnerait. Conseillé avec compétence par Marius Gardiol, dit Mario, c’est avec Paul Laurent que le projet fut mis au point, et en 1951 naquit le premier trophée taurin : " Le Provençal patronnerait, et Paul travaillerait ! "

        Le trophée qui débuta en 1952 n’était destiné qu’aux raseteurs, et ce fut en 1954 qu’une commission composée de 12 membres désigna le meilleur taureau de son choix, à qui elle offrit le Biòu d’Or.

        Depuis, le Biòu d’Or est devenu la suprême récompense pour un taureau et pour son manadier, et les choses étant ce qu’elles sont, il serait peut-être souhaitable que dorénavant ce soit le Peuple qui élise son Roi !... "

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        • Le "Pape" de la Bouvine : Le 2 juin 2020 à 19:23 , par VOVO

          Une idée, que je partage pleinement.

          Support de l’information : le ticket d’entrée afin d’élire le meilleur taureau de la Camargue. (au lieu et place d’une commission ad hoc)

          Ne pas obliger l’afeciouna à choisir parmi les taureaux retenus pour la finale, car là il y a quelque chose d’étrange, puisqu’on fait le tri qui peut paraître arbitraire et élimine d’abord avant de retenir l’affiche de la finale et ensuite on attribue le titre.

          Le côté bizarre provient du fait que n’est susceptible d’avoir le BIOU d’OR, que le taureau qui figure dans la course (je sais bien qu’en 1973 Dur de Blatière n’était pas à la finale et il a été BIOU d’OR).

          C’est du moins l’impression que le système actuel donne.

          En 1955, Régisseur de Raynaud était désigné pour le titre, mais au dernier moment ce dernier est revenu à Gandar de Blatière parce qu’il prenait de l’âge !

          En 1957, pour compenser l’injustice, c’est Régisseur qui l’a obtenu (vous connaissez la suite)...

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