Des emplacements où les numéros sont par endroits, soit illisibles sur la pierre, soit inexistants, où les placiers se débinent et vous disent qu’ils n’ont pas le temps, où les gens ont à se débrouiller d’eux-mêmes pour faire la police et récupérer leurs places.
L’ambiance était tendue par endroits dimanche avant la Capelado.

Ça s’installait n’importe où et les discussions étaient houleuses.
Ça devenait un rapport d’âge ou de force pour récupérer son siège.
Ambiance chaude, pas pour les services de sécurité plutôt discrets, mais aussi pour les services médicaux en T-shirt fluo débordés par les coups de chaleurs aux quatre coins des gradins.
Eux au moins ont tenu leur rôle et sont à féliciter.

Ce problème d’organisation des places n’est pas nouveau à Arles, puisque déjà observé durant les Férias précédentes avec par exemple 3 places à plus de 40€ sur une pierre de 1,20 m de large ; faut pas être trop gros !

Alors Monsieur De Carolis, si vous aimez tant votre ville, vos arènes, les traditions et toutes les tauromachies, vous pourriez avoir un peu plus d’attention pour les gens qui habitent ou qui viennent dans votre si belle cité assister à un spectacle.

Revoyez un peu toute l’organisation de vos secondes, vos gradins hauts et bas.
Certes votre place premier rang à l’ombre doit être bien numérotée elle, mais levez la tête et pensez avec un peu plus de respect aux aficionados et aux afeciouna qui ont payé parfois chèrement une place et souhaitent regarder un spectacle avec passion et en toute tranquillité .

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