Elle avait appartenu, au commencement du siècle précédent, à Guillaume de Cassan, seigneur de Saint-Paulet, puis successivement à Bernard Rostang (dit Vache) à Renaud de Montfaucon, à Catherine, veuve de Pochet Huan (dit Guignolet) et à Gabriel Huan, son neveu.
C’était un démembrement de l’ancien fief de Saint-Césaire, au quartier de Néjan.

Gaspard de Varadier, seigneur de Saint-Andiol, acheta, en 1567, le premier droit de lods et rétention sur cette terre.

C’est à partir de ce moment que le mas prit le nom de Saint-Andiol.

Après le décès de Nicolas de Varadier, en 1642, Louise de Grille, sa veuve, fit faire un arpentage de la propriété qui était divisée en deux parties principales, appelées le grand et le petit Mas de Saint- Andiol, la contenance totale était de 1613 seterées (1) environ, mesure de dextre (2)