Pour compléter ce coup d’oeil d’ensemble, peut-être un peut trop brièvement exposé, nous ajouterons que les primes furent souvent élevées, que les sur-primes ne furent jamais marchandées et que les razeteurs, toujours nombreux, contribuèrent pour leur bonne part au succès de chaque course.

La saison taurine 1937 a donc été bonne et nos arènes ont connu à différentes reprises l’affluence des grands jours. Ce résultat ne peut que nous réjouir . Il est l’oeuvre de Mario et des membres de la commission tauromachique beaucairoise qui ont fait tous des efforts pour ramener l’aficion aux arènes. Ils y ont réussi ! Qu’ils en soient remercié et félicité.

Dans l’intérêt de nos belles courses libres, dans l’intérêt de toute l’aficion, nous leur demandons de continuer l’oeuvre de rénovation si bien commencée et, en leur faisant plaine confiance, nous leur souhaitons bonne chance pour la saison 1938.