La beauté fut en lui, la vigueur fut en elle,
Et le taureau courut, semblant avoir des ailes
Maître du plan toujours, devant d’immenses foules
Où fureurs, passions, élans grondent et roulent,
Un contre tous, vainqueur vertigineux et brave,
Nul plus que lui ne sut, par son agilité,
Lier un sang fougueux, libre de toute entrave,
A la splendeur d’un corps de grâce et de beauté
R.GRAS, Vauvert, 1932
Publié le
19 janvier 2016 par