La maladie de la langue bleue, sans danger pour les humains, attaque les ruminants (ovins, bovins, caprins) sans affecter la qualité sanitaire de la viande ou du lait, mais les pertes directes qu’elle cause aux troupeaux, par mortalité ou en laissant de lourdes séquelles, associées aux restrictions en matière de commercialisation pèsent lourdement sur les éleveurs.
La fièvre catarrhale ovine est véhiculée par un moucheron piqueur. Elle se traduit par de fortes fièvres, un gonflement de la tête de l’animal et le bleuissement de sa langue, d’où son nom.

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Source : http://www.lanouvellerepublique.fr/
"Un cas de fièvre catarrhale, détecté dans un élevage de l’Allier, a entraîné des mesures pour protéger les élevages bovins, ovins et caprins de l’Indre."

"Un cas de fièvre catarrhale ovine (FCO) a été détecté voici quelques jours sur un bélier, dans un élevage d’ovins et de bovins de l’Allier. Après l’identification des symptômes, les analyses ont établi qu’il s’agissait d’un cas de FCO à sérotype 8 (...)"

"En 2007, François Fillon, alors Premier ministre, avait annoncé le déblocage de 6 millions d’euros d’aide aux éleveurs de bovins pour faire face à cette épizootie. La « maladie de la langue bleue » avait touché plus de 11.000 bêtes en France, "

Pour lire l’article en son entier :
http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2015/09/16/Fievre-catarrhale-dans-l-Allier-l-Indre-sous-surveillance-2465632
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Source : http://www.lanouvellerepublique.fr/

"Déjà aux prises avec la tuberculose bovine, le sud du département doit désormais se préserver d’un virus qui frappe moutons, chèvres et bovins."

"(...) après la découverte d’un cas de FCO dans l’Allier, la semaine dernière, un arrêté ministériel, publié au Journal officiel en date du 13 septembre établit un périmètre de surveillance de 150 km autour du foyer de la maladie, afin de « prévenir sa propagation qui présente un danger pour les élevages. »
Cela concerne les ruminants domestiques (moutons, chèvres, bovins) (...)"

"Principale conséquence pour les éleveurs : dans un arrêté pris lundi, le préfet interdit désormais le transport des animaux susceptibles d’être porteurs du virus en dehors de la « zone réglementée. » Seule dérogation possible : un aller simple pour l’abattoir, « sans rupture de charge » – c’est-à-dire en utilisant plusieurs véhicules – et à condition de procéder à la « désinsectisation des moyens de transport. » Les animaux doivent de surcroît être abattus dans les 24 heures. "

Pour lire l’article en son entier :
http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2015/09/16/Alerte-a-la-fievre-catarrhale-2466220