Le projet est clair, parfaitement structuré, novateur et prometteur.

Nicolas TRIOL a visiblement une carrure approprié pour endosser les responsabilités de Président de la fédération compte tenu des ses capacités acquises (universitaire diplômé en management-cadre supérieur bancaire durant 10 ans-aujourd’hui chef d’entreprises en start-up etc..)

Tous les points de son projet ont été longuement décortiqués et soumis à notre appréciation.
Cet homme n’est fermé à rien.
Il n’a jamais manqué de respect pour Hadrien Poujol et son équipe.

Cependant, afin que les gens qui s’interrogent sur sa réserve depuis 2015 connaissent l’intrigue, je préciserai qu’il avait proposé son concours depuis l’an dernier à l’équipe sortante mais celle-ci n’a jamais voulu l’intégrer.(par peur sans doute des ses capacités gestionnaires ???)

Il a mis l’accent sur la nécessité de se prendre en main et de maîtriser les destinés de notre tradition qui pour lui sont très, très menacées .
D’une part par le manque de compétence de ceux qui ont géré la FFCC ( trop d’erreurs par manque de vision de la réalité - perte de contact avec les autorités par négligence...) et d’autre part par ceux qui l’ont géré à leur profit exclusif.

S’ensuivit un débat avec la salle où des problèmes récurrents font l’objet d’attente pour que la Fédé s’y penche sérieusement. (règlement intérieur-discipline en piste-respect du public, calendrier des courses etc...)

Un clin d’œil visible est lancé aux partenaires de jadis qui sont à l’origine des Masters, (grande initiative s’il en est), il aime l’innovation et ceux qui ont la capacité de chercher, de tester, bref, il veut faire bouger les lignes avec des partenaires à la hauteur de ses ambitions.

Voilà l’essentiel en gros de sa démarche.

Un projet sérieux, perfectible aussi, avec la volonté sous-jacente d’aller de l’avant avec professionnalisme.
Un plaidoyer qui ne ressemble en rien à tous les bla-bla cent mille fois entendus, peu convaincants et surtout qui ne font plus rêver.

Nicolas TRIOL a visiblement l’étoffe d’un présidentiable.
Il ne lui reste plus qu’à endosser le costume.

Pourquoi pas ?

Liberté