Ses variations nous amènent à conclure que :
Le Rhône, dès l’antiquité la plus reculée, se divise à hauteur d’Arles, en deux grands bras (Ostium Massalioticum et Ostium Amplissimum)
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Dernier ajout : 16 janvier 2018.
Ses variations nous amènent à conclure que :
Le Rhône, dès l’antiquité la plus reculée, se divise à hauteur d’Arles, en deux grands bras (Ostium Massalioticum et Ostium Amplissimum)
Les bras du Rhône
Le petit Rhône a dû se former par une irruption du Rhône, vers l’ouest à la hauteur d’Arles pendant les âges antéhistoriques.
La seule inspection de la côte nous révèle que les apports de ce bras secondaire ont toujours été de peu d’importance. Ces apports n’ont produit en effet, qu’une légère saillie vers Les saintes, où il se jette aujourd’hui par le grau d’Orgon.
Projet d’un canal au travers de la Crau
Si la navigation sur le Rhône depuis Lyon se fait naturellement, même s’il a été très fortement canalisé par de multiples ouvrages et autre barrages, depuis Arles il est très « calme » très lent, donc il a été imaginé la construction d’un canal matérialisé ce canal dans le plan du Bourg se trouve en zone calme, l’idée avait été de faire naviguer de fort tonnages de bateaux dans un canal très calme, donc qui demanderais très peu de force de propulsion, et qui n’aurait pas a subir les courants importants du Rhône.
De plus cet ouvrage pouvait servir à soulager le grand Rhône voisin, en délestant celui-ci d’une importante quantité d’eau qui serait dirigées dans le golfe de Fos.
L’idée première de cet ingénieur était d’éviter le grand Rhône, de traverser la Crau, pour faire communiquer Bouc, Fos , Port Saint Louis du Rhône et Arles avec le reste de la partie navigable du Rhône.
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