• RIPART (Didelot Langlade) à Chateaurenard pour la Finale de l’Avenir.
Est-il possible de faire mieux, plus complet ?
Placement, vitesse d’exécution, anticipations meurtrières, actions aux planches jamais gratuites et violentes.
Et puis en face un quatuor en blanc LAURIER, CHEBAIKI, DANNA, BENHAMMOU, qui multiplie les rasets risqués mais d’une haute technicité pour en final nous transmettre une émotion infinie.
Que dire de plus, que vouloir de plus ?

• DERRICK (Nicollin) pour la Finale des AS.
C’est la rencontre entre un cocardier aux multiples qualités et un raseteur « CADENAS » qui va « faire sa course », se sublimer et dépasser l’entendement en matière d’engagement, de technique, de volonté, de talent.
Quel bonheur pour la Course Camarguaise !

Dans ces 2 cas de figure, on ne se demande pas s’il n’y a plus de taureaux, et s’il n’y a plus de raseteurs au 21e siècle.

On ouvre les yeux et on voit. On ouvre en grand son cœur et l’émotion vous gagne, à la limite des larmes.

J’ai détecté dans la foulée 20 courses unitaires qui se démarquent.
Pour ma part j’en ai vu 5 et je m’estime chanceux, 20 courses notées 17 et plus, suivies de 74 courses notées 16 .

Cela fait donc 94 courses sur 2.879 (soit 3,2%) qui représentent à mon sens le dessus du panier.

Je vous laisse aux prises avec cette liste !
Vous la trouverez sévère, ou optimiste, ou même laxiste…
C’est à vous de voir.
On peut penser : 3% c’est peu ou c’est trop !

Pour moi c’est la réalité de cette année 2022 et sa lecture est particulièrement instructive.

.

.

.

.

Note : Note course du taureau

Soit 21 courses qui représentent ce qui se fait de mieux selon les critères définis en ouverture
.

.
Suivent 74 courses qu’on peut qualifier d’excellentes avec la note de 16
.

Cet ensemble de 21 courses + 74 courses représente 3,3% des 2.879 courses unitaires de la saison 2022.
.

.

Retour au Sommaire *