Au XIXème siècle, les troupeaux atteignaient le millier de têtes et la jasse pouvait alors, atteindre les quatre-vingt mètres de long. Généralement l’habitation du berger occupait une partie du bâtiment.
En Arles, on croise le mouton de Rambouillet (mérinos d’Espagne importé par Marie-Antoinette) avec la race locale. Cela donne un mouton plus petit mais avec une laine encore plus fine : le mérinos d’Arles.
Uno jasso c’est aussi une litière, l’endroit où on s’est couché.
Lou jas, c’est le gîte, la litière.
" Lou chin fai leva lou perdigau à jas " (le chien fait lever le perdreau au gîte)
Publié le
4 mai 2012 par
- Mis à jour le
28 mars 2013