Don José :

""Je veux revenir sur vos propos concernant un taureau, Jaquet en l’occurrence.

Je vous laisse le soin d’affirmer que le taureau était dans un mauvais jour car effectivement il n’a pas changé de terrain comme à son habitude et a manqué d’un brin d’anticipation mais j’ai une autre lecture de la prestation de ce taureau qui faisait ce jour sa 6ème course avant d’aller à Mouriès puis au Grau du Roi.

Le taureau a été victime d’un manque criant de précision de la part de la crème des razeteurs aux attributs dû à leur précipitation et surtout dû aux sollicitations inacceptables des tourneurs durant quasiment 12 minutes et ce dans l’indifférence coupable d’un président de course incompétent.
Alors c’est vrai le taureau a abdiqué durant les 3 dernières minutes de sa course et rentrant en silence au toril.

Il serait grand temps de se pencher sur le rôle de ces tourneurs qui pourrissent nos courses, qui font tourner les taureaux en bourrique, de les sanctionner ainsi que le razeteur pour qui il travaille.

Monsieur le Président de la FFCC, la maison brule sous vos yeux et vous regardez ailleurs, vous êtes Président de la Fédération de la Course Camarguaise pas un commercial qui essaye de vendre la CC à un département, un région ou une métropole ....
Il est temps grand temps de mettre de l’ordre et de revenir aux fondamentaux en mettant le taureau au centre de toutes les décisions et rapidement.....

Per la Fé""

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 La réponse de Liberté

""Je suis entièrement de votre avis Don José.

Vous aurez remarqué que je n’ai pas fait de description spécifique sur le ¼ d’heure de chaque taureau durant les trois courses à l’image des chroniqueurs taurins sur les comptes rendus de courses des journaux.
Ce n’étais pas mon objectif.
Je me suis tenu uniquement à mettre en relief le ¼ d’heure des taureaux qui se sont distingués de leurs congénères.

Pour en revenir à la course de Jacquet, voici l’intégralité de mon relevé que je n’ai pas pris le soin, ici sur notre site, de développer :

« 11 ans.
Piégé devant la présidence il fait son trou et refuse beaucoup.
Une course hachée et désordonnée infligée par des raseteurs sans scrupule.
Jacquet résiste grâce à son coup de tête persuasif.
Les hommes insistent.
Lopez le libère enfin de son deuxième gland à la 10° min. Et aux ficelles qu’il va conserver, même scénario.
Il a posé un problème insoluble aux tenues blanches.
Dur, dur ce Jacquet.
 ».
Ma note 12/20.

Voilà Don José mon commentaire intégral (et personnel) sur Jacquet arrivé derrière Chicharito à qui j’avais attribué la note de 14/20 ""