" Puisque le taureau est très sensible aux événements telluriques, Henri Aubanel s’interroge sur l’actualité, les fameuses courses hivernales sous les arènes chauffées nîmoises :
" je comprends les impératifs économiques d’une aussi grande arène.
Je ne me permettrais pas de critiquer mon ami Jean Lafont , co-responsable du lieu, mais je suis fondamentalement contre les courses d’hiver.
Mauvaises pour le taureau et le public.
Quand je songe qu’on me traitait d’assassin parce que je faisais courir Vovo 10 fois dans l’année !!! "
(...)