Alors où étiez vous ce weekend ?
Malgré un fort vent c’était une belle journée de printemps pour sortir en Provence ou en Languedoc que nous avions, pourvu qu’on ait prévu une bonne polaire pour le soir.
Samedi dernier Aureille organisait son 25è Souvenir Soler. (...)
Sa petite piste fait que souvent gauchers et droitiers se retrouvent au centre et le travail en est désordonné .
Il en ressort aussi de bons moments comme justement le travail de Fouque régulier et appliqué ou Jérôme Martin.
Chez les cornus, Jonas de Gillet apporte le sérieux et le respect comme Verdon de Richebois qui fit un sans faute tant cocardier que barricadier, ou Souquet de Guillierme obtint les faveurs du jury pour le prix du jour ainsi que Romain Fouque.
Graveson affichait une course complète de Layalle pour le 10ème trophée de la Roubine.
De bons éléments, de bons moments qui confirme la progression de cette manade.
A revoir, le 542 Capoulié :de bons principes.
Le dimanche 2 avril, 1 course niveau As Lunel pour la Royale des Cuillé.
Coté taureaux, première sortie ne soyons pas trop exigeant, coté raseteurs, pas de véritable leader, donc travail soigné, sans plus !
Peut être n’ont il pas compris que Maestria Production demandait un peu plus de spectacle. Mais pour plus de spectacle il faut des vedettes.
Sinon dans le détail, bonne première partie avec des taureaux de respect.
Rubicon en premier méritait Carmen pour son placement, sa bravoure et son âge : 12/20.
Galavard en 3è est le meilleur de l’après midi ; prend tous les appels mais sait sortir de l’emprise pour se replacer.
5’19 pour lui lever ses attributs, dominateur, il fait preuve d’une grande noblesse pour un 9 ans ; il se défend toujours corne pointée en poussant parfois au delà des planches.
Galavard sauve ses 2 ficelles et Carmen au retour.14/20.
Deuxième partie plus pétillante mais parfois plus tendre avec des taureaux qui donnent la tête même si la finition est au rendez-vous.
Bélénos en quatrième, ressort du lot.
D’entrée il repousse les hommes, il accélère sur certaines actions où Chekade, Lopez, Benhammou, Martin se font remarquer.
Aux ficelles Bélénos sélectionne un peu plus, récupèrent un peu et les conserve ; Musique 14/20.
Néron et Lucullus sans démériter devraient donner plus de satisfaction à leurs prochaines sorties.
Que dire d’une course dont on attend beaucoup ?
forcément un peu déçu.
Après la course, Pierre Cuillé n’avait pas la banane mais la satisfaction du devoir accompli.
Et que pensait Hadrien Poujol ? »En deux mots : c’est passé « .
Aux Saintes Maries de la Mer les supporters des Raynaud étaient présents pour une complète.
Il faudra suivre Liseron(650), Dancaîre (546) et surtout Cochise(431)
Des 1/4 d’heures complets parfois brillants.
Malgré la concurrence proche, Mauguio organisait un concours intéressant avec : Livingstone de Paulin criminel, finisseur, puissant ; pareil pour Sarpati du même élevage .
De bons moments et des coups de barrière comme les aime Jacques au micro.
Fourques organisait sur 2 journées le trophée souvenir Bergier ; une grosse affluence sur les 2 courses.
François Martin omniprésent et vainqueur de ce trophée local.
Grégou de Boch à revoir avec plus d’adversité, Pastagas également pour son coté barricadier-spectacle et Jocrus de Guillierme pour son sérieux et sa vaillance. Il obtient le prix du meilleur taureau sur les 2 jours.
Manduel démarrait la compétition du Trident d’Or : Mermoux 131p, Brestalou 124,5p et Rambier Cavallini 122,5 p.
Chapeau au président de course qui osa exclure selon le règlement Alarcon et Sabde pour leur comportement.
Je garde le meilleur pour la fin, la course où il fallait être : Les Paluds de Noves.
La relève de Chicharito : Rincon de Caillan un 1/4 d’heure intense de respect, d’émotion, de vivacité, de finitions. Retour porteur de sa cocarde. A revoir sans modération.
Mais Porto de Didelot Langlade n’est pas en reste comme Siffleur de Méjanes ou Lou Mamaï de La Galère.
Tous à revoir avec plaisir.
En conclusion le Carmen final pour les Hommes Boukarta en tête et pour les Taureaux étaient amplement mérité.
A bientôt, sur les gradins bien sûr.