Pour pénétrer dans l’île de Camargue ou la quitter par l’est d’une manière inhabituelle et agréable

"Barco" en provençal, du latin "barca", pourrait donner l’étymologie du nom "barcarin".



Localisation : rectangle noir.</center

Jusqu’en 1930, Salin de Giraud qui existait depuis quelques dizaines d’années était exclusivement relié à Arles par la route et le chemin de fer départemental.
Le Rhône était un obstacle à tout accès vers l’est des Bouches du Rhône. Seuls quelques passeurs avec leurs barques faisaient traverser les personnes.
En 1932 le département des Bouches du Rhône étudie et prend la décision de mettre en place un mode de franchissement du fleuve large de 400 m. en cet endroit.
Actuellement 2 bacs assurent le franchissement du Rhône : Le Barcarin 3 et le Barcarin 4.

Le trafic normal est d’environ 400 000 tonnes pour 23 000 camions et 38 500 traversées. Le nombre de véhicules légers était de 350 000 en 1985 augmentant entre 5 à 10 % par an.

L’embarquement.</center



Le Grand Rhône vu du bac, en pleine traversée.</center