Des arènes bien remplies ; il restait quelques places par ci par là mais les travettes étaient bondées !

Avant de commencer, Maxime Favier a eu droit aux encouragements (bruyants mais sympathiques) de ses groupies.

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Il parait que l’ouverture était un hymne au cheval de Camargue, sauvage ou dressé.
Pour moi sa principale qualité fut sa brièveté.

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Voici ce qu’en a pensé notre ami Boumian

Icare (manade Paulin) s’envole vers son avenir.

Des arènes pleines comme un œuf, une ambiance des grands jours, cette finale a vue la consécration de Lucas Faure, mais aussi du Petit Jérôme Martin devenu le chouchou des arènes grand vainqueur à l’applaudimètre.
Si le taureau Icare a été désigné taureau de l’avenir par un jury souverain, Horatio de la manade Cuillé aurait pu aussi prétendre à cette nomination pour son sérieux et ses finitions percutantes.

Evidement avant la course un faste avec une parodie du cheval en liberté sauvage ou dressé mais quelque peu récalcitrant (pour certains), de plusieurs groupes folkloriques, d’une péña, tout ça orchestré par un maître de cérémonie.

Quand le président Jacques Valentin toujours aussi en forme pour faire grimper les primes (finale oblige), demande aux raseteurs de se mettre en place pour la capélado, les 12 premiers du classement se présentent (voir Marseillaise de vendredi) avec 4 tourneurs : Cuallado, Grando, Cano, Noguéra.
_ Le travail de ces jeunes ne souffre d’aucune contestation même si en deuxième partie la fatigue a mis en valeur les jambes lourdes

Boer. L’Occitane : Après une petite promenade, il rentre dans le combat en faisant face avec fermeté. En parfait 1er il prend tout ce qu’il peut et laisse le négatif. Il durcit encore son combat pour donner ses réponses fortes après Martin, Alam, Alliaga. Ses ficelles rentrent en musique qui a joué 4 fois.

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Colvert Chauvet : Dans une pagaille indescriptible il perd ses principaux attributs. Aux ficelles le calme est revenu, il ajuste mieux les sollicitations. Son changement de terrain n’inspire pas les hommes. Heureusement qu’ils se reprennent pour lui faire réaliser une fin de course d’un niveau de finaliste. Il sauve sa course avec une ficelle balourde qu’il rentrera avec les honneurs qu’il a reçu 3 fois.

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Marcia F Mailhan : C’est aux ficelles qu’il va s’exprimer. A aucun moment il ne se laisse séduire, il raccompagne ses adversaires jusqu’aux limites. Il reçoit un travail considérable mais cela ne le dérange nullement, il finit toujours hargneusement avec des riposte vigoureuses. Ses ficelles vont au toril avec la fanfare qui a joué 3 fois.

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