Belcita débuta ternen neuf aux arènes de Sommières en mai 1903 dans uns course de quadrille, blessant gravement le torero Belcita, d’où son nom, présenté pour la 1ere fois en course dans les arènes à Lunel en octobre 1903, s’y dépointa la corne gauche de 5 cm environ. Taureau en pleine forme et et vedette de 1909 à 1914, Termine sa carrière en 1916 à la fabrique de conserves Bicornel de Châteaurenard, Frontal au club taurin de Mauguio
L’Horloger débuta au Cailar pour l’inauguration de l’horloge. Mort de maladie, fit partie pendant 5 ans de la royale, sortant 1er
Le Petit Horloger 1910-1914
Le Facteur, débuta dans le plan d’Aimargues, 5eme de la royale de 1910 à 1914. Blessa à Aimargues le razeteur Dupuy, , dit "Le Fataïre".
Vendu au couteau à Châteaurenard en 1916.
Désiré, débuta à Vauvert, triomphe en 1913 et 1914, se brise une patte au Pont Rouge en 1915, fut abattu.
Le Bouquet, débuta à Uchaud, tué par un de ses congénères en 1914, dans les près des Mauvinettes au Cailar.
Vana Verda, Mauguiolen, Faisan, couraient avant 1921.

Une vieille manade, article du Salinié pour l’Aficion en 1924

En Camargue le 06/10/1924 (extraits) signé Lou Salinié

Depuis la fondation, la race ne subit aucun croisement intentionnel, et si nous disons intentionnel , c’est que quelques taureaux de robe rouge clair ou « Boucabeu »étant en ce moment sur les pâturages, on pourrait chicaner sur la pureté du sang. Cela pourrait provenir et nous dirons même provient certainement de la promiscuité qu’il y eut entre les manades Combet et Yonnet, lorsque cette manade battait les enfores du Pèbre en Camargue,
Cependant, les croisements durent être de faible importance puisque sur 350 bêtes de la manade actuelle, 340 sont de robe noire, particularité de la race Camargue pure, les autres sont rouge clair ou boucabeu sans aucun mélange de robes pies. Soit en rouge, soit en noir.

Nous disons que le propriétaire soucieux de garder une pure race, élimine autant que possible dès leur venue, les produits susceptibles d’avoir été croisés ou présentant un signe quelconque de ce croisement.

Les taureaux de Granon sont plutôt petit puisque les plus lourds atteignent a peine 220 kilos, leurs formes cependant sont fines et élancées, les cornes bien planté et franchement en haut, très aigües et noires aux extrémités, les pieds petits, la queue longue et bien fournie.
Nous citerons :
Le Londrès qui passant en quadrille se cabra après un sauteur landais
Le Belcita pour 1905, ce dernier major de la manade de 1906 à 1916 a laissé à ses descendants une tare héréditaire : les corses émoussées.