Nous n’oublions pas : c’était à Aigues-Vives, la

Les arènes affichaient le plein. Plus de places assises.
Même le temps avait senti que quelque chose d’exceptionnel allait se dérouler et il a attendu, dans sa grande bonté, la fin de la bandido avant de lâcher sa première goutte de pluie.
De nombreuses personnalités étaient présentes avec la famille Libourel, Monsieur le maire d’Aigues-Vives et le président de la FFCC, Henri Itier.

Avant de commencer eut lieu une petite cérémonie avec la remise du "Souvenir Maurice LIBOUREL", dit "Le maire de la 113" par son fils Serge.

Monsieur Laurent, très sensible à tous les témoignages de sympathie témoignés, après les civilités d’usage, conscient de l’attente de tout ce public qui avait rempli les arènes eut ces mots très justes : "S’il vous plaît, gardez à l’esprit que vous allez voir des bébés de trois ans, ne leur en demandez pas trop."
L’expérience...

Mais dans ce monde taurin, malheureusement, "tout n’est pas beau, tout le monde n’est pas gentil".
Nous aurions aimé que le défilé, l’entrée, la sortie, soient accompagnés par quelques notes de musique. La sono est restée désespérément muette. Problème technique ?
Puis, nous étions quelques uns à mous demander si c’était bien opportun de commencer l’après-midi par la cérémonie... elle a peut-être mis la pression sur ces jeunes stagiaires qui, semble-t-il, ont raseté "en-dedans"...
Mais cela n’enlève rien à la qualité de ce que nous avons vu : un fonds de caste prometteur, indiscutable et une présentation irréprochable (le 4ème châtre peut-être...). Les huit taureaux présentés avaient des cornes symétriques.

Conseil pratique,
click sur une image (elle s’agrandit) click sur la grande image et vous voyez la suivante.
Et ainsi de suite jusqu’à la dernière si tel est votre souhait.